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histoire

La campagne de Bonaparte en Egypte.

12 Octobre 2011 , Rédigé par intelligentsia.tn Publié dans #Histoire

La campagne de Bonaparte en Egypte

Il s’emparera de l’Egypte ; chassera les Anglais de toutes les possessions de l’Orient où il pourra arriver; et notamment détruira tous leurs comptoirs sur la Mer Rouge ; fera couper l’isthme de Suez, et prendra toutes les mesures nécessaires pour assurer la libre et exclusive possession de la mer Rouge à la République Française. » Tel fut l’ordre de mission envoyé par le Directoire en 1798 au général Bonaparte. En coupant la route des Indes aux anglais, la France s’assurerait la maîtrise des mers, du commerce et de l’industrie.

Au projet militaire vient s’ajouter l’expédition scientifique. L’Egypte, considérée comme le berceau de la civilisation, était à la  » mode « .

Bonaparte s’embarqua donc pour l’Egypte avec 300 navires et 40 000 hommes, entraînant avec lui soixante huit savants réunis par Monge, Bertholet et Denon. Mathématiciens, ingénieurs, astronomes, naturalistes, botanistes, dessinateurs, architectes, hommes de lettres, tous sont du voyage… Ils fondent l’institut d’Egypte ayant pour mission de propager les lumières en Egypte.

Le 1er juillet 1798,
le  » petit caporal  » débarque à Alexandrie et prend la ville en un jour.

Le 21 juillet,
Bonaparte sort vainqueur de la bataille des Pyramides qui lui ouvre la route du Caire. C’est là, où il aurait galvanisé ses troupes en prononçant la célèbre phrase :  » Soldats ! Du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent ! « . Deux jours plus tard, il entre au Caire mais ne put empêcher les Anglais, commandés par l’amiral Nelson, de détruire sa flotte à Aboukir. En plus des pertes humaines liées aux batailles, l’armée française subit de plein fouet le rude climat de l’Egypte. Les hommes sont en proie à la typhoïde, la dysenterie et bien d’autres maux . Un tiers des troupes sera anéantie par les maladies.

 

Le 22 août 1799,

Pierre de Rosette, El Rachid

Bonaparte abandonna son armée pour rentrer en France et laisse le commandement des opérations à Kleber. Un an plus tard, Alexandrie capitule et les anglais s’emparent d’une partie des découvertes antiques mis à jour par les savants français, dont la pierre de Rosette (conservée par le British Museum). Cette stèle de granit trouvée par des soldats français en 1779 dans la ville de Rosette contient trois inscriptions. La première en hiéroglyphes (langue sacrée égyptienne), la seconde en langage démotique (langue courante égyptienne), et la troisième en grec. La pierre de Rosette fut sans nul doute la découverte la plus importante des troupes napoléoniennes. Mais il faudra attendre encore quelques décennnies, pour que les signes mystérieux dessinés sur la pierre dévoilent leurs secrets. C’est le talentueux Champollion qui en 1822, réussit à déchiffrer les inscriptions en montrant qu’il s’agissait d’un alphabet, élevant ainsi l’égyptologie au rang de discipline scientifique.

Quelques années plus tôt, en 1802,
Vivant Denon, qui faisait partie de l’expédition, Directeur des musées puis ministre des beaux arts, publie un livre intitulé  » Voyage dans la Haute et Basse Egypte « . Il commande aux artistes des œuvres d’art inspirées du style égyptien qui donnera naissance au style Empire.

Si la campagne d’Egypte s’est finalement avérée être un échec sur le plan militaire, elle reste une formidable réussite pour le rayonnement culturel de la France et l’aura de Bonaparte. En 1803, Napoléon dira :  » ces temps que j’ai passé en Egypte a été le plus beau de ma vie, car il a été le plus idéal. « .

La campagne napoléonienne en Egypte a permis de redécouvrir tout un pays qui a peu à peu dévoilé quelques uns de ces plus beaux mystères.

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Posté par Senakht on 2 juin 2011. Catégories Histoire Egypte. Vous pouvez suivre les réponses à ce bulletin avec le RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse sur ce sujet

 

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La guerre de gaza

5 Octobre 2011 , Rédigé par intelligentsia.tn Publié dans #Histoire

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La guerre de Gaza s’est terminée sur un échec cuisant pour Israël

5 Octobre 2011 , Rédigé par intelligentsia.tn Publié dans #Histoire

La guerre de Gaza s’est terminée sur un échec cuisant pour Israël

vendredi 23 janvier 2009 - 07h:50

Gideon Levy

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Au lendemain du retour du dernier soldat israélien de Gaza, nous pouvons déterminer avec certitude qu’ils y sont tous allés pour rien. Cette guerre se termine sur un échec cuisant pour Israël.

Cela va plus loin qu’un échec moral profond, question déjà grave en soi, cela touche à l’incapacité d’atteindre les objectifs affichés. Autrement dit, l’épreuve n’est pas complétée par un échec. Nous n’avons rien gagné dans cette guerre sauf des centaines de tombes, certaines très petites, des milliers de personnes mutilées, beaucoup de destructions et la détérioration de l’image d’Israël.

Ce qui semblait n’être des dégâts prédestinés qu’à une poignée d’individus au début de la guerre est progressivement apparu comme des dommages pour beaucoup d’autres, une fois les barrissements de la victoire calmés.

L’objectif premier de la guerre était de mettre fin aux tirs de roquettes Qassam. Ils n’ont pas cessé jusqu’au dernier jour de la guerre, seulement après qu’un cessez-le-feu ait été déclaré. Les officiels de la Défense estiment que le Hamas détient toujours un millier de roquettes.

Le second objectif, la prévention de la contrebande, n’a pas été atteint. Le chef du service de sécurité du Shin Bet a estimé que la contrebande reprendra dans les deux mois.

La plus grande partie de la contrebande est destinée à ravitailler en nourriture une population assiégée, pas à récupérer des armes. Mais même si nous admettons la campagne de peur à propos de la contrebande, avec ses exagérations, cette guerre a servi à prouver que seules, des armes de mauvaise qualité, rudimentaires, passaient par les tunnels de contrebande entre la bande de Gaza et l’Egypte.

La capacité d’Israël à atteindre son troisième objectif est également douteuse. Dissuasion ? mon œil ! La dissuasion que nous étions censés acquérir avec la Seconde Guerre du Liban n’a eu aucun effet sur le Hamas, et celle prétendument atteinte aujourd’hui ne marche pas mieux : les tirs sporadiques de roquettes depuis la bande de Gaza se sont poursuivis au cours des derniers jours.

Le quatrième objectif, resté inavoué, n’a pas été rempli. Les Forces de défense israéliennes n’ont pas retrouvé leur capacité. Elles ne pouvaient pas, pas dans une quasi guerre contre une malheureuse organisation pauvrement équipée qui s’appuie sur des armes improvisées, avec des combattants qui arrivent à peine à se battre.

Les récits héroïques et les poèmes de victoire conjugués au « triomphe militaire » ne permettront pas de changer la réalité. Les pilotes ont volé en missions de formation et les forces terrestres ont été engagées dans des exercices qui impliquaient coordination et usage des armes.

Présenter l’opération comme une « réussite militaire », comme l’ont fait différents généraux et analystes qui voulaient donner leur avis sur l’opération, est tout simplement ridicule.

Nous n’avons pas affaibli le Hamas. La grande majorité de ses combattants n’ont pas été blessés et le soutien populaire à l’organisation s’est en fait renforcé. Leur guerre a intensifié leur esprit de résistance et affermi leur endurance. Un pays comme le nôtre qui a nourri une génération entière dans l’esprit de se battre seuls contre tous devrait savoir apprécier cela aujourd’hui. Il ne fait aucun doute pour savoir qui était David et qui était Goliath dans cette guerre.

La population de Gaza, avec ce coup si dur qu’elle a encaissé, ne va pas devenir plus modérée maintenant. Au contraire, le sentiment national va se tourner plus que jamais contre la partie qui a porté ce coup, l’Etat d’Israël. Tout comme l’opinion publique en Israël vire à droite après chaque agression contre nous, il en ira de même à Gaza après l’attaque géante que nous avons lancée contre eux.

Si quelqu’un a été affaibli avec cette guerre, c’est le Fatah, dont la fuite et l’abandon de Gaza prennent aujourd’hui une importance particulière. Dans la série d’échecs de cette guerre, il faut inclure évidemment l’échec de la politique du siège. Un moment, nous avions déjà compris qu’elle était inefficace. Le monde a boycotté, Israël a assiégé, et le Hamas a gouverné (et il est toujours au pouvoir).

Mais le bilan de cette guerre, autant qu’Israël soit concerné, ne s’arrête pas à l’absence de toute réussite. La guerre nous a affligés d’un lourd handicap, qui continuera à peser sur nous quelques temps. Quand viendra le moment d’évaluer la situation internationale d’Israël, nous ne devrons pas nous laisser abuser par la parade de soutiens des dirigeants d’Europe, venus le temps d’une séance de photos avec le Premier ministre Ehud Olmert.

Les actions d’Israël ont porté un coup sérieux à l’appui de l’opinion à l’Etat. Bien que cela ne se traduise pas toujours dans la situation diplomatique immédiate, l’onde de choc va nous arriver un jour. Le monde entier a vu les images. Elles ont choqué tous les êtres humains qui les ont regardées, même si elles ont laissé froids la plupart des Israéliens.

Ce qu’ils en concluent, c’est qu’Israël est un pays violent et dangereux, dépourvu de toute modération et faisant fi ouvertement des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations unies, tout en se fichant du droit international. Les enquêtes sont en cours.

Plus grave encore est le dommage que cela infligera à notre moral. Il y aura des questions difficiles sur ce que les FDI ont fait à Gaza, qui se poseront malgré les effets de flou des médias engagés.

Alors, qu’a-t-on obtenu finalement ? En tant que guerre engagée pour satisfaire à des considérations de politique intérieure, l’opération a réussi au-delà de toute attente. Le président du Likoud, Benjamin Netanyahu, domine les sondages. Et pourquoi ? Parce que nous ne pouvions pas obtenir suffisamment de la guerre.

Du même auteur :

  L’armée israélienne n’a aucune pitié pour les enfants des écoles maternelles de Gaza
  
Les dirigeants d’Israël paieront pour ce bain de sang
  
Le temps des Justes
  
Les forces aériennes israéliennes sèment la mort
  
Netanyahou, c’est le diable !

22 janvier 2009 - Ha’aretz - Traduction : JPP

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Gaza : restons humains


Le 5 octobre 2004, Iman Al Hams, âgée de 13 ans, était massacrée par un officier israélien
Saed Bannoura

Dépêches d'agences


CPI - Salfit...Naplouse... Les palestiniens harcelés et proscrits !
Dépêches du 30 septembre 2011

Publication PCHR


Rapport sur les violations israéliennes des droits humains
PCHR du 22 au 28 septembre 2011

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Le Holocauste de Gaza

5 Octobre 2011 , Rédigé par intelligentsia.tn Publié dans #Histoire

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Decline and fall of the roman Empire.

21 Mai 2011 , Rédigé par intelligentsia Publié dans #Histoire

Lecture 14

The Decline and Fall of Rome

One of the reasons for the success of the Roman Empire was that the Romans treated their Empire as the world. In other words, the world was equated with the Empire. This belief formed the social cement which kept the Empire sustained. However, this bond, this social cohesion, was temporary at best. There were, after all, forces outside the Roman Empire which were eating away at the Empire itself. And regardless of whether we accept the fact that Rome fell as a result of internal pressure or invasions from the outside, or both at one and the same time, one thing is abundantly clear: Rome fell, and did so with a loud noise. It would take Western Civilization nearly ten centuries to recover and refashion a world which could be the rival of the civilization of Rome.

By the third and fourth centuries AD, it is proper to speak of a Greco-Roman tradition of thought. The Romans tried to limit the influence of Greek thought in the early days of the Empire. However, over time Greek ideas joined with Roman conceptions and a new tradition of thought was forged. In some respects, the Hellenistic world became Romanized. This is just one more example of how the Romans succeeded by assimilated other cultures. Furthermore, the Greco-Roman tradition refers as much to classical and Hellenistic Greece as it does the days of the Roman Republic and the Empire. Both civilizations produced a world view which we could only call pagan. This world view was secular through and through. Gods and goddesses were common to both civilizations and yet as time passed it was the virtuous life of the good citizen that was of supreme importance. The emphasis was on living the good life in the here and now, whether in the city state or the cosmopolis.

The Greco-Roman tradition was fashioned over the one thousand year history of the classical world, the world of Greece and Rome. The Renaissance of the 14th through 16th centuries attempted to revive the ideals of the classical world, and so the humanists of the Renaissance tried to imitate the humanism of centuries past. Humanist scholars took great pains to study the texts of the ancient world, not just to "harvest" the virtuous life of classical man, but to learn classical Greek and Latin. If ancient texts needed to be studied, then they needed to be studied in the language in which they were composed. What had happened between the fall of Rome and the Renaissance was the bastardization of classical languages. As scholars, the humanists needed the classical world for its language as much as it did for its ideas.

However, it was also during the age of the Pax Romana that this pagan tradition, this Greco-Roman tradition, was joined by another important tradition, by another world view. This world view is called the Judeo-Christian tradition. That is, the ethical and ordering principles of the Jewish and Christian faiths.

The Greco-Roman tradition was secular: it proposed no one God and formal religion as we know it today, did not exist. While the Greeks would pay homage to their  many deities, as would the Romans, there is no doubt that they placed their true faith in the hands of man. In other words, humanism: man the thinker, man the doer, man the maker. For the Greeks, man was endowed with Reason, the capacity to think and use his intellect. This initially took the form of glorifying the city state: the city state was the world. Anything outside the city state was somehow inferior, barbarian. In an important respect such an attitude was narrow in focus and provided the Greeks with a tunnel vision that prevented them from further growth during the Hellenistic Age.

The Greeks were also obsessed with the personal cultivation of the individual. "Know thyself," repeated Socrates. The good man ought to seek the good life and so become a good citizen, a virtuous citizen. And a collection of virtuous citizens would constitute the virtuous city state. The only way that the good life was at all possible was through personal examination. Or, as Socrates again argued, "the unexamined life is not worth living."

Above all, the Greeks asked questions. What is knowledge? What is the state? What is beauty? What is virtue? What is justice? Was the best form of government? The Greeks, in the last analysis, were thinkers rather than doers. In time, the Greek world view came or to be based on the intellect more than it was on action. The best illustration of this world view -- a view of thought rather than of action-- was the Stoic and Epicurean therapies of the Hellenistic Age. These therapies taught resignation in the face of chaos and disorder -- they taught men to resign themselves in private reflection and thought.

The Romans, on the other hand, were doers, they were men of action. They succeeded in translating into action what the Greeks had only thought possible. The Romans also asked questions about the world, about nature, and about man. To be sure, they inhabited the same world as the Hellenistic Greeks. They understood and accepted the chaos and disorder of the world. However, they were clearly more prepared to develop their thought of the world in relation to what kind of world in which they wanted to live. The Romans also had the example of the Greeks and their history. In other words, the Romans were cognizant of what the Greeks had accomplished and not accomplished. The Greeks had no such history to which they could refer.

The end result for the Romans was that they managed to create their own world and they called it the Roman Empire. And their world view became embodied in a pagan cult. This cult was nothing less than the patriotic worship of Rome itself. And throughout the Empire we find the expression Genius Populi Romani celebrated by all Romans. If anything sustained the Empire, it was the conception of the "Genius of the Roman People." The Romans were taught to believe that the destiny of Rome was the destiny of the world and this became embodied in a civil religion which embraced the genius of the Roman people. This civil religion was a secular, pagan religion, in which all men devoted their energies toward public service to state. It was their duty to serve the state. It was virtuous. These duties consisted of service and responsibility because only through responsible service would one come to know virtue.

Despite the obvious fact that the majority of Roman emperors were scheming, devious, opportunistic, or plainly insane, the world view dominated the social life of the Roman citizen of the Empire. The history of the Empire is dotted with political assassinations, strangulations, emperors playing fiddles while Rome burned, court intrigue and rivalry not to mention a widespread incidence of downright insanity or paranoid schizophrenia. In the end, it is extraordinary that the Roman Empire existed for as long as it did. For Edward Gibbon, author of the Decline and Fall of the Roman Empire (3 vols, 1770s), the decline of Rome was natural and required little explanation: "The decline of Rome was the natural and inevitable effect of immoderate greatness. Prosperity ripened the principle of decay; the cause of the destruction multiplied with the extent of conquest; and, as soon as time or accident and removed the artificial supports, the stupendous fabric yielded to the pressure of its own weight. The story of the ruin is simple and obvious: and instead of inquiring why the Roman Empire was destroyed we should rather be surprised that it has subsisted for so long." [Gibbon, Decline and Fall of the Roman Empire, 2nd ed., vol. 4, ed. by J. B. Bury (London, 1909), pp. 173-174.]

It's a complicated question and has occupied the attention of historians for centuries. One thing can be said with certainty -- although Rome ultimately fell  in A.D. 476, the its decline was a process that had been going on for centuries. This goes back to the comment we've been making all along, that Roman strengths eventually became Roman weaknesses. Another thing which we ought to remember is that the Roman Empire was large, and when we speak of the fall of Rome, we are talking about the western half of the Empire. The eastern half survived as the Byzantine Empire until 1453. Lastly, there is no one explanation that accounts for Rome's decline and fall.

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